Résumé :
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Dans la littérature architecturale, le parking fait depuis longtemps figure de parent pauvre, de programme trivial, relégué au statut d'espace de stockage, qui plus est, associé à un mode de transport désormais voué aux gémonies : la voiture individuelle. Le passif est donc lourd, mais la situation est en passe de se retourner, en s'appuyant, contre toute attente, sur les valeurs de mixité et d'environnement qui ont aujourd'hui la faveur des pouvoirs publics. Avec une fréquentation en baisse continue les parkings souterrain connaissent de nouvelles utilisations allant de l'entrepôt de produit alimentaire aux stations-services pour la recharge des véhicules électriques, garages à vélos, ateliers de réparation, data centers...
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